J’aime bien l’ITALIE,
florilège de beautés,
qui chant’, tel un cantique,
une perle enclavée
en Méditerranée,
encore plus jolie
déployant ses merveilles,
aux rayons du soleil.
ASSISE, sa basilique
marcher dans son empreinte,
respirer le parfum
retrouver un peu l’âme
du Saint « Poverello »,
l’humble François d’ASSISE.
J’aim’ flâner dans FLORENCE
-la ville de tous les arts-,
sur le Ponte Vecchio,
admirer les statues
on dirait qu’elles saluent
le touriste égaré
qui vient pour admirer.
MILAN : sa cathédrale
ses flèches, qui s’élancent
dans le ciel, haut, très haut,
ressemblent Ă une forĂŞt,
comm’ mill’ mains en prière.
Son dôme, son baptistère
sur la place des miracles,
mais c’est la tour de PISE
dans son déhanchement
qui se donne en spectacle
on a bien l’impression
qu’elle va nous faire une bise.
VENISE, et ses gondoles
qui font la farandole
le long du Grand Canal,
toutes ces mosaĂŻques
dans sa belle basilique .
La place ronde de SIENNE
quand les chevaux cavalent
une fois dans l’année
pour une course effrénée
Ville martyre POMPEI,
sous la cendre engloutie,
du VĂ©suve qui a fait
tristement des siennes,
et tous ces gens figés
dans leur éternité
pour la postérité.
ROME :
sa place St Pierre
et toutes ses Ă©glises,
ROME chargée d’histoire,
je marche sur ses trottoirs
dans les pas de ses saints
et de tous les quidams.
La ROME antique, d’hier
la ROME religieuse
la ROME intemporelle,
la ROME Ă©ternelle,
la ROME millénaire,
ROME, majestueuse
où l’on boit aux fontaines
qui n’sont pas trop lointaines.
Comme une perle rare
entre le ciel et l’eau,
la petite île : CAPRI,
un bel havre de paix
pareil au paradis.
NAPLES,
Une vue de carte postale,
qu’un artiste aurait peinte
avec la mer au fond
du linge aux fenĂŞtres,
ses petites rues cachées.
Danièle (3 juillet 2006)
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