Pour toi, jeune Sénonaise

Yeux bleus, cheveux mal coiffés,
Une jeune fille au regard monstrueux,
Me fit un sourire radieux,
Elle marchait et moi je la suivais,

Hermine, amante de Pyrrhus elle se prénommée,
Elle représentait le galbre de la perfection,
Ses yeux azure de couleur me rappelais
La pureté, non l’allégorie de la passion,

Ou plutôt celle de la beauté accomplit.
Moi, je buvais ses paroles,
Chaque son était un bonheur pour l’ouit,
Sa silhouette affreusement belle,

Me transporte dans un état inconnu,
Où que seule la beauté je connais,
Pourquoi, Comment, Où
Parce qu’elle sait Hermine.

Le Chevalier Anonyme
Dit moussa