Ton poème commence sur un mélange de vies... et se termine dans la médisance d'une personne qu'il vaut mieux ignorer.
Le destin se charge parfois, auprès de ceux qui font du mal, de ce qu'on ne leur aurait pourtant pas souhaité.
Mieux vaut rester neutre et généreux, c'est le plus grand mal qu'on puisse leur faire.