La nuit
Je me couche,
Et le bruit
M’embouche.
Viens donc
Dans mes bras,
Verse ton toc
Sur mes avant-bras.
Pleure de même,
Lâche ta merde
Quotidienne et sème
L’Aride.
Un jour
Nous serons heureux :
L’amour
Nous rendra preux
Viens donc encore
Rire jusqu’aux yeux.
Oui, bats le score
Et abandonne tes aïeux
Alejandro.
----------------
"sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloges flatteurs".