Une écriture toujours aussi touchante, tant par le choix des images que par la sensibilité que tu places en tes mots.
Cependant, malgré la fin défaitiste, je n'en oublie pas moins le début annonçant que la résurrection est envisageable, le phoenix jamais ne mourant, mais toujours renaissant; la mort est ici illusoire, et bientôt son cri se fera de nouveau entendre, mais pas celui strident des souffrances, plutôt celui d'espoir qu'est celui de la naissance.
Bref, très beau, comme à ton habitude.
Alain
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c'est toujours quand il est parti qu'on se rend compte que le bonheur était là !