Bonjour (ou bonsoir, je ne sais plus !) poète Farid !

Je réponds bien tard. Mais je l'avais lue ta dédicace, ton très beau texte. Très touchée comme je te l'ai dit par mail, je t'ai dit aussi que j'y répondrai plus tard...C'est à peine maintenant que j'ai le temps, enfin de te répondre ! Je t'en prie, ne m'en veux pas, je ne pouvais faire autrement.

Je voyais Farid, intellectuel, rêveur, érudit, esthète, amical, amoureux parfois lorsqu'il évoque Tourterelle, humain ou plutôt humaniste mais aussi parfois cynique, distant par rapport aux gens, aux évènements...ne voulant pas s'émouvoir plus qu'il ne faut, pour ce qui n'en vaut pas la peine et surtout s'efforçant à ne rien attendre des autres (pour ne pas être déçu ?).
C'est un tout autre Farid qui m'apparait...un poète blessé, écorché, qui souffre, encore candide malgré tout, généreux, très généreux...et qui garde la foi et l'espoir et qui aime le monde, les hommes...malgré tout. Tu l'exprimes, nourriture sacrée, par tes écrits qui sont tes cris d'espoir, d'amour et aussi de colère lorsque tu veux réveiller ces hommes que tu aimes et en qui tu gardes espoir.

Farid, tu es magnifique. Merci, merci à toi ! Tu connais maintenant ma sensibilité...tu sais que ce que j'exprime n'est qu'une once de ce qui est dans mon coeur...pudeur oblige, sans doute ! Et là je suis vraiment touchée !

Je t'embrasse fort ! Adorable poète Farid !

Marie (Albatros)

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De la musique avant toute chose (Verlaine)
Là tout n'est qu'ordre et beauté
Luxe calme et volupté (Beaudelaire)