A ces politicards Véreux,
Qui ne savent trop bien nous dépouiller,
A ces politiciens sans scrupules
Qui n’ont appris qu'à se remplir les poches en toute impunité !
Mais où sont donc passés votre bon sens et vos valeurs,
Un jour viendra, où vous devriez rendre compte,
De tous vos actes devant une justice,
Celle d’un peuple en colère,
Que ne vous ne pourrais plus contrôler !
A vos conneries !
A vos pensées !
Vous qui croyiez savoir ce qui est bon,
Pour nous,
La France d'en bas,
A vous qui construisiez des ghettos
Dans le plus grand désarroi,
Dans l’insécurité,
D’une pesse limogée pour cacher vos actes,
Bandes de politiciens véreux et sans scrupules,
Je me détourne, je me retourne,
Retournez donc sur les bancs de l’école,
Apprendre et à tirer des leçons de la vie,
Loin de vos tours d’ivoire et vos couverts en argent,
Sans domestique, sans chauffeur,
Nous ne croyons plus à vos beaux discours,
Qui ne sonnent que creux et mensonge,
Vous ne représentiez pas un peuple,
Vous creusez des fossés d’inégalité,
Entre génération et fortunés,
Vous ne combliez pas les caisses,
Vous les videz,
Le plus triste dans tout cela,
C’est que nos enfants,
Continueront à subir vos conneries,
Jusqu’au jour ou tout cela changera,
Pour donner un sens et des valeurs,
A la liberté l’égalité et la fraternité,
Des personnes qui ont combattu,
Pour nos droits et la liberté.
A ces politicards véreux et sans état d’âme,
Qui ne vivent que pour s’enrichir,
Et qui ont soif de pouvoir.
Le jour de viendra,
Où vous devriez rentre compte !