trop souvent ,un instant messir
resister mais je n'ai pu me retenir
et me suis perdue en imagination
à la nuit tombante dans la tentation

souvent nous imaginant
seuls devant un bon verre de vin
ou j'aurait gouter a vos nectars divins
me faisant tourner la téte , une nuit des temps

les chandelles y auraient éclairés nos désirs;
l'âtre y aurait flamber les crépitements;
sans nous mentir,se l'interdire,frémir;
mais il est temps ,messir,il est temps....

bien souvent messir,j'ai imaginé
le vent de la mer me froler de vos caresses
et marquer, le sable de mes pas dans vos pas;
un rien de vous ,avant que ne disparaisse
le soleil dans l'horizon du couchant la bas

souvent les oiseaux volaient au dessus de nos tétes
comme si ils chantaient nos tempétes;
ils virevoltaient dans le crépuscule;
vos mains si fraiches sur mon corps qui brule.


mais le phare s'allument dans ces nuits;
mais le soleil se couche vers un autre matin espéré
n'est il pas plus cruel ,messir,que vous comme soucis?
n'est-il pas plus doux comme désir que de vous aimer ?