J accuse les politiques
Ces clowns cynique
Sous couverts d idéologies purement personelles
D appauvrir le peuple en promesses données et dejà abandonnés

Il nous restera bientôt plus qu a nous ronger la peau sur les os
Et boire une lampée souillée aux sources de Sévéso

Aux tables nappées de broderie ministérielle or et pures
Se rasasient les grands de ce monde
Aux étables drapées immatérielle de rêverie et ordures
S assistent les glands que leurs bal innonde

Et dans les chaumières en France
Dans les chauds hier maintenant rance
On aspire les classes doyennes vers le fond
On attire les classes moyennes vers les ponts

Allez on va boire un dernier café ou un pot
On va voir la taxe arriver sur le thé ,nouvel impot
Demain la Banette a un Euro
Et pour le peuple des coups de baguettes dans le dos
Politiques morts de faim
Prolifique sort pour non demain
Et le peuple pour supplier de ses deux mains

La belle Europe que voilà
On va bientôt supprimer Cent quatre vingt million de repas pour les plus démunis
Qui sont donc ses lois faites par des nantis
La Grèce fait peau neuve
un régime qui laisse enfants et femmes veuves

J accuse les politiques
De ne pas prendre ni entendre
Les cris qui de la rue monte
Eux qui vivent dans la honte


Prenez garde car le temps du changement va arriver
Un jour le peuple va dériver
Quand le père ne pourra plus nourrir sa famille
Qu il fera comme ailleurs ou a Manille
Alors vous hommes sans gène
Devrez ouvrir les lacrymogènes
Mai sera avance
Mais en France
Ou ailleurs là bas
Peut être le peuple lévera le glas
De vos belles nuitées au fond de vos draps de soie
peut être demain les peuples a l union
Pour renverser banques et profit pognion
n oubliez pas que l histoire nous a donné ses leçons
n oubliez le réveil autrefois des nations
N oubliez pas que ce sont dans la colère et les ombres
Que se réveillent les heures sombres

Réagissez maintenant
Pour avenir pour génération enfants
Réagissez maintenant et arrétez les mensonges
Pour donner encore aux peuples un espoir ,un rêve ,un songe sur un doux hiver
Et non pas venu du fond des enfers


Petit ps sans jeu de mots
hier j ai lu : Le pire de la crise est passée !
ben alors faut vraiment que j arréte de lire les jouneaux économistes qui disent le contraire comme dirai Coluche ils sont cons ses économistes,nempêche que ....

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la nostalgie est un bouquet de fleurs enfoui au fond de votre coeur ,
qui vous embaume quand remontent les souvenirs du bonheur ,
yohann