Plume de platine Inscrit le: 26/6/2008 De: 43° 50' 16" nord et 4° 21' 39" est Envois: 3685 |
(X X X - INTERDIT AUX MOINS DE 70 ANS) - La guerre des sexes ! Ha, les femmes, les femmes... tout un poème ! De tous les êtres humains, « queLLE » est le plus fort... ... « queL » est le plus faible ? UNE RÉVOLTE FÉMINISTE GLOBALISÉE (#MeToo). Depuis un an, le mouvement l'a montré : Les nouvelles générations de militantes Ne se contentent plus de la dénonciation, Elles sont capables d’organiser des stratégies de résistance Et explorent des techniques d’auto-défense (liberation.fr ›). ALORS, PLUS QUESTION DE SE TAIRE... | DEMANDEZ LES DERNIÈRES NOUVELLES ! SUR LES TRACES DU MÂLE, CHAUVINISTE, PHALLOCRATE, MACHISTE, SEXISTE, ETC... Dès la préhistoire, L’homme s'est auto-déclaré supérieur à la femme.
Sauf que le bonhomme a sans doute interverti Les vrais rôles dans son esprit revanchard… | LA PREUVE : |
Alors comme ça, tu nous as donné Non seulement rendez-vous au même endroit Mais en plus, à la même heure.
Tu regardes un peu trop les films de m'sieur Siffredi, Mon p'tit "rococo" ! | |
| De quoi, de quoi ? Je te propose une petite sieste crapuleuse Et tu me réponds que tu as autre chose à faire ?
Alors, va voir plus loin si j'y suis et... ... et si j'y suis pas, restes-y ! Non mais.
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Comment ça je suis ta p'tite "roue d'secours" chérie ? Et elle, ta p'tite "maison de poupée" pour faire "mumuse" ?
Alors, mon p'tit "Big-Âme" adoré, Vas vite te cloîtrer dans un monastère et... ... et surtout, dans un p'tit trou bien perdu ! | |
| Non mais, ça va pas ? Tu portes mes sous-vêtements en cachette Pour aller dans des dîners professionnels ?
Mais quelles sortes "d'affaires" ? Et quelles sortes de "professionnels" ?
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| ... CHUT ! | Maintenant, voyons voir qui qui c'est qu'est supérieur(E) à l'autre ?
PETIT RÉSUMÉ DES PREMIERS PAS DE L'ÊTRE VIVANT À TRAVERS LES ÂGES !
Mais où vas-tu comme ça ? T'as pas entendu Quand j't'ai demandé D'aller faire la vaisselle ?
Non ! Et mon œil ? Si tu crois pouvoir t'en tirer comme ça, Tu te trompes ?
| | Pardon, pardon, mon ange ! J'annule mon rendez-vous avec les copains Et je file devant l'évier.
Heu, j'pourrais p'être en profiter Pour faire aussi la lessive ? Non ? Tu crois pas ?
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Mais qu'est-ce t'attends, bon sang ? Tu vois bien qu'on n'a plus rien à manger ! Alors va vite faire les courses...
... et tout d'suite, mon p'tit mammouth adoré. Sinon, gare !
| | Heu... oui, oui, ma... ma... Ma doudounette.
J'y vais, j'y vais !
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Tiens, tiens. Mon p'tit polisson d'mari A fini par rentrer la maison.
Alors, c'est à c't'heure-ci que t'arrives ?
| | Bein, si j'ai mis tout c'temps, C'est parce qu'en revenant de la taverne, J'ai dû traverser la forêt.
Alors j'en ai profité Pour cueillir ces quelques fleurs, Rien que pour toi. J'te jure, ma puce !
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Comment ça, la guerre C'est rien qu'une affaire d'homme ! Mais alors, Tu nous prends pour des balourdes malhabiles ? Tout juste bonnes à décrasser Et faire briller vos armures ?
T'inquiète donc pas. Je s'rais pas si "MALADROITE", Quand j'vais cogner sur mon "MÂLE À GAUCHE" !
| | Mais bon sang ! Qu'est-ce tu fais dans cette tenue ? Et range vite cette hache !
Tu risques de te faire un gros bobo Ma p'tite biche.
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Explique-moi un peu. C'est quoi, ce "concours" de beauté ?
Pour élire une "Reine" et organisé en secret Par tous les bonhommes De cette "cour à la c..." ?
Tu veux changer d'nana ? C'est bien ça, hein !
| | Pas du tout ! Mais alors pas du tout, du tout. Ne t'fais surtout pas de vilaines idées, Ma p'tite princesse à moi tout seul.
J'voulais juste m'assurer Qu'aucune de ces "bell...", Hum, pardon ! J'voulais dire Qu'aucune de ces "bonn... es" femmes Ne pourrait jamais Te remplacer dans mon cœur.
Alors calme-toi ! Ma p'tite reine de beauté infinie.
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Alors comme ça, T'as pris une permission sans me prévenir ? Hein ! Et puis je peux savoir ce que faisait Une de tes grenades dans mon lit ?
Mais d'abord, comment t'as fait pour entrer Dans le dortoir des femmes Sans que personne ne le remarque ?
| | J'suis vraiment désolé mon trésor. C'est pour ça qu'j'ai pris une perm'. Pour essayer de retrouver cette satanée grenade Dans le champ ou j'ai roupillé Au cours des manœuvres de la s'maine dernière.
Excuse-moi. Comme ton dortoir était vide, Elle a dû se détacher de mon ceinturon, Lorsque je me suis allongé Tout habillé dans ton lit en attendant Que tu rentre de mission, mon adorée.
Seulement j'ai dû partir avant Pour ne pas rater mon train.
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Quoi ? Mon "sucre d’orge", mon "chou", Ma "pomme d'amour", ma "guimauve", Mon "pain d’épice"... ?
Et pourquoi pas mes "cuisses de grenouilles", Ma "raclette", ma "tartiflette", ma "ratatouille", Mon "pot-au-feu"... ! hein ?
J'm'en vais t'faire rôtir en broche, mon poulet ! Tu va voir, tu vas adorer.
| | Mais arrête ! Calme-toi un peu "chouchou" ! J'voulais simplement être gentil.
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LA VIE HARMONIEUSE EN COUPLE VUE PAR LES MACHOS'MEN ! La femme a longtemps été invitée à rester à la maison, de préférence dans la cuisine, devant ses casseroles. À la rigueur au salon, devant la cheminée, après qu'elle eut servi le dîner. À condition, bien sûr, qu'elle s'occupe, c'est-à -dire qu'elle tricote ou brode. Il lui était, de surcroît, recommandé de se taire : le bruit a toujours dérangé l'homme, qui rentre fatigué du travail et a besoin d'un bon repos. Quand, par malheur, la femme quittait sa cuisine pour n'en faire qu'à sa tête, elle prenait tous les risques. Y compris d'être brûlée en place publique. Longtemps, elle fut condamnée à ne pas sortir de son rang sous peine d'essuyer les pires calomnies. C'est ainsi que, contrairement à la légende, Cléopâtre n'a jamais eu un long nez. Ni Berthe, de grands pieds. Ni Aliénor d'Aquitaine, une sexualité débordante. Ni Jeanne d'Arc, la fâcheuse habitude d'entendre des voix. Par exemple, il a fallu attendre 1907 pour que la femme puisse disposer librement de son salaire, 1924 pour qu'elle ait le droit de passer le même baccalauréat que les hommes, 1970 pour que l'homme ne soit plus le seul chef de famille ou encore 1975 pour que la femme adultère ne soit plus passible de trois mois à deux ans d'emprisonnement. Ajoutons que c'est seulement au XXe siècle que la société a fini par accepter le port du pantalon par les femmes, " chose toujours interdite par la loi de 1799, qui n'a pas encore été abrogée" ( Par Franz-Olivier Giesbert - Publié le 02/03/2011). ... à suivre (ou pas). INCROYABLE, MAIS VRAI ! LE PORT DU PANTALON POUR LES FEMMES EN FRANCE N’A ÉTÉ AUTORISÉ… QU’EN 2013 : Oui, oui, vous avez bien lu, le 31 janvier 2013 très exactement. Certes, depuis des décennies, les femmes portaient déjà le pantalon dans la rue : mais officiellement, elles n’en avaient pas le droit, compte tenu d’une loi du 7 novembre 1800 qui interdisait "le travestissement des femmes". Hé oui !Ça fait seulement 9 années; 10 mois et 6 jours... aujourd'hui. ... soit, 3 596 jours que les femmes ont enfin le "droit constitutionnel" de se "travestir".
A noter que depuis l'homme préhistorique, l'uniforme des soldats de l'armée romaine et autres, l'homme à le droit de porter une jupe... sans être inquiété ! . ---------------- « La vie n'est supportable que si l'on y introduit non pas de l'utopie mais de la poésie (Edgar Morin) » ----------------
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