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Vous m'avez laissé boire à la sombre fontaine
Le sang de mes rejets... et je m'y suis soûlé.
Vous m'avez approché du frottoir de la haine,
Y craquant mon image... et je me suis brûlé.
Vos désaveux de mère ont exilé ma vie
Vers ces ressentiments, geôliers de mon enfance
Et j'ai cueilli les pleurs de ma sourde ironie
Pour arroser les fleurs de mon intolérance....
Sublime !
Fort ressenti en tes mots arteaga et plaisir de lecture.
Merci, merci...
Agréable soirée.