Le goéland de Saint Malo
Est le sillonneur de la plage
A railler quand il ne dit mot.

Le goéland argenté nage
Quand il n'est pas prêt à voler
Et qu'il se met donc au pialliage.

Que réserve-t-il à manger
Si ce n'est qu'il est omnivore
Et qu'il aime l'invertébré.

Il est de même carnivore
Et en cela pas que marin
Car des insectes il adore.

Mais il peut aussi être brun
Et être ainsi moins de l'Europe
Mais c'est au nord qu'il prend son bain.

C'est du mariage qu'il écope
En intimité de dévot
Où son pleur en est de syncope.

Le goéland de Saint Malo.

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La poésie n'a d'autre perspective que d'ouvrir l'imagerie mentale qui est la porte de l'imaginaire.
(citation personnelle)