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Entre Bratislava OU Ave César !
Un faucon pèlerin en survol de la route 66.... .....
Il faisait un mitigé septembre d'un automne atone Quand par le matin de mardi ( ce jour même) monotone J'ai pris mon inséparable calepin et mon crayon Et sorti me ressourcer, voire déambuler dans la région.
Mon esprit était nourri d'une béate joie Décidé à prospecter les bosquets et sous-bois Arpenter les vergers de noisetiers jouxtant le canton Non loin d'un puits d'une eau pure sans microbes ambiants. ( ironie)
La terre est humide, spongeuse et l'humus trempé. La nuit passée, la pluie, continûment, n'a cessé, Des trombes d'eau, sans préavis, elle a déversé, Et l'odeur du pétrichor anise l'aréa qui hier desolée.
Avec un ancestral casse-Noisettes dans la musette Je n'ai arrêté -ma superflue- quête de glands Comme passer le temps en promeneur pédant Que de rester dans l'estaminet contigu avec ses tables obsolètes.
S'oxygéner et aérer les poumons de l'odeur du tabac Regarder les corneilles et corbeaux allant et venant Dérangeant un ascète rossignol sur la forge, prenant son encas quand détalant à la vue d'un faucon pèlerin, de passage pourtant.
J'ai pensé que dans la savane aucun n'egalera le roi lion, Comme dans le monde des oiseaux, le redout(é)able est un faucon En octroi pèlerin, chassant étourneaux étourdis Et autres similaires ; pies joueuses avec leurs queues... celles-ci impunies. ..... .. TAREK..... 6922
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