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Le conte de fées est fini...
Là -bas, c'était le Paradis... .... Aujourd'hui, le grand large est silencieux, calme et huileux. Sur la plage, les lèvres douces des vagues imbibées de mousse, Viennent caresser la volupté du sable doré et velouté, Rafraîchissant l'ardeur heureuse d'une atmosphère rieuse.
A quelques mètres de moi, sur les rochers escarpés en émoi, L'eau redouble de sa vigueur, les fouettant avec fureur, Faisant entendre un fracas tel un séditieux brouhaha. Et, l'écume, je l'ai vue se vaporiser comme une rose non brumisée.
En un laps , couve un latent silence, puis l'écho recommence. Tout paraît banal pour les mômes ostentant leurs egos en trinômes, Continuant de construire leurs châteaux de sable tout en sourire, Sous les regards de leurs parents, garants de leur bien-être urgent.
La plage est en effervescence. Il faisait un chaos immense, Comme dans un capharnaüm d'un Baghdad à son summum, Si ce n'est de petites aubettes de glaces et sucettes. C'est un moment d'opulence. C'est un instant de belles nuances.
TAREK.... . .   16822
NB/
C'est un poème en vers libres dans lequel j'ai usé, dans chaque vers, des rimes internes et externes parfois faibles,moyennes, ou fortes.
La rime est souhaitable dans la poésie en libres vers.
Juste un exercice modeste que je laisse à l'appréciation de mes amis poètes.
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