Comme l’arbre rejoint, par le bout d’une tige, Son autre parallèle afin de le toucher, Et former avec lui cette arche de prestige, Je te tiendrai la main pour ne plus te lâcher.
Et quand tu seras prêt à poser les deux pieds, Serein, tu trouveras le fabuleux passage ; Tu quitteras sans peur les funèbres sentiers, Pour la nouvelle rive où t’attend ce message.