Pardonne-moi mon coeur, j’ai été égoïste !
Quand je fais ça, je sais, je sais que ça t’attriste,
Comme un coup de poignard enfoncé dans le dos.
Tu as raison bien sûr, je ne suis qu’un salop !
Comment ai-je pu donc basculer Ă ce point ?
Ça ne ressemble pas au Prince qui détient
Les clés de ton amour, royaume de confiance…
A moins que je ne sois charmant qu’en apparence.
Je n’ai pas réfléchi, c’était un coup de tête,
Au milieu d’un train-train qui jamais ne s’arrête
Près de ce quai de gare où l’on s’est embrassé
Pour la première fois… Il m’arrive d’y penser…
Mais je n’ai pas d’excuses… J’assume ma bêtise.
Que puis-je faire alors pour expier ma traîtrise ?
Une promesse en l’air : plus jamais, en rangeant,
Je ne mettrai mes slips dans tes sous-vĂŞtements.
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"Le monde a soif d'amour : tu viendras l'apaiser." A. R.