Un poète s’en va de son pas hésitant
Pour ouvrir un chemin qui n’étonne personne.
En effet tout le Monde attend que l’heure sonne
Au tocsin du village informant l’habitant.
Ô toi mon bon Sylvain qui fus si palpitant
Te voilà dans les cieux où plus rien ne frissonne.
Ici sur notre Terre on chante et on klaxonne
Que tu fus, pour nous tous, un feu très crépitant.
Tu aimas partager tes textes ficelés
Où des pensers creusés étaient fort bien celés.
Tu n’oubliais jamais de lire tes semblables.
En ce jour affligeant nous reste ton recueil
Pour avoir en solo des plaisirs vraisemblables.
Nous te retrouverons. Soigne bien ton accueil !