* DUO. A corps dansés d'âmes s'élancent...
Bonjour à vous Poètes et Poétesses d'Oasis.
Simplement vous dire que cette poésie nécessite une lecture musicale et d'images.
Comme d'habitude, merci par avance à ceux et celles qui passeront ici pour me lire.
Douce journée à vous.
J'aime tellement quand on se danse
des quatre deux de nos jeux mains
le près joignant l'effet distance
des loin qu'on balaie d'aériens.
J'aime tellement quand on se danse
dans ce deux où l'on est plus qu'un,
voltigeant d'un sangler d'intense
nos espaces hanches de sens à lien.
J'aime tellement quand on se danse
à corps de toi d'accord du mien,
tourbillons Nous de straps à stance
à sol d'envols d'un violon d'Ingres.
J'aime tellement quand on se danse
dans ce spatial de ciel touché,
gestuelle rondes de l'émouvance
poignets à doigts de *bras scellés.
J'aime tellement quand on se danse
papillons d'air d'ailes déployées,
d'un voile à vent d'âmes s'élancent
à fleure sens d'un baiser volé.
J'aime tellement quand on se danse
d'un sol dérobé sous nos pieds
que seul le musical romance
stance puissance d'air *Ã couplet.
J'aime tellement quand on se danse
dans ce deux de nos pas croisés,
et que d'une joue glissant mes hanches
tu muses nos en cils d'yeux fermés.
J'aime tellement quand on se danse
du pied nu de nos pointillés,
pointant ce qu'en cherche l'immense
à cœur ampleur d'illimiter.
J'aime tellement quand on se danse...
J'aime, dansait-elle, d'un virevoltant l'espace,
accrochée aux poignets de grâce
dont l'amour se faisait danseur,
planeur d'élans d'un souffle passe
à vent surface d'air tournoyeur.
* Aina.
Octobre 2021.
" L’amour, et la poésie qui est sa conscience aérienne,
sa plus humble figure, son visage au réveil, est profondeur
de l’attente, douceur de l’attente."
* Christian Bobin.
( Une petite robe de fête).