Des navires voguent vers les contrées lointaines
Comme si ils vont croiser le regard des requins.
La haut, on le voit bien, le ciel est si serein ;
La mer moins agitée aux pêcheurs fait du bien.
Pourquoi ci, pourquoi ça ? Comment ci, comment ça ?
Bien des gens se demandent en allant ça et là .
Et par labà , chacun parle de son dada ;
Même d’un vieux pêcheur qui porte un bermuda.
Ils tirent le filet, les pêcheurs et amis,
Les marchandes de poissons sont déjà revenues,
C’est peut-être en dormant qu’elles ne font pas de bruit,
Mais, bon à voir comment elles abordent la vie.
L’enfant qui demande le nom de ces oiseaux
Qui tapent les vagues et remontent de nouveau,
Rit la vie, voyant ces oiseaux blancs en réseau
Laissant le sable mouillé pour voler si haut.
Tout est beau, tout est calme, tout paraît si doux,
Le vent et la musique rend la vie si goût,
Sur la plage, chacun fait son choix, et, c’est tout,
Car, il suffit de se sentir bien entre nous.