Et si…
Supposons un instant, isolé dans le temps…
Il n’est pas de maisons, mais des habitations…
Il n’y a point de rues, ni même d’avenues…
Il est quelques humains, du ruisseau riverains.

Il n’y a point d’autos, ni même de vélos…
Il n’y a pas de tours, ni de parking autour.
Il y a des forets, et de petits bosquets.
Il y a des oiseaux, cachés dans les roseaux.

La Nature nous sourit, le soleil nous éblouit, Evaporée, notre eau reforme tout là-haut,
Un petit nuage blanc, transporté par le vent…
Equilibre en puissance de toutes les puissances !...

Trop de population, c’est trop pour la Nation !...
Si le nombre est trop peu, le bonheur ne se peut…
Si le nombre est trop grand, le malheur sera grand !
Croissance modérée, société bien gérée…

C’est une vérité pour la prospérité,
Réduisez vos arpents, pour réduire vos dépens ;
Réduisez votre argent, dont le cours est changeant ;
Adieu la tyrannie, adieu la jalousie !...