Un corps paresse
Sous une bise caresse
Qui murmure doucement
Un léger chuchotement
L’homme se détend
Il écoute et attend
Qu’une complainte en sourdine
Lui souffle des rimes
C’est un vent léger
Qui entoure ses pensées
En leur donnant de l’air
Pour y voir plus clair
Quand ce poème surgit
Venant de nulle part
La pause n’est pas finie
Il faut qu’il se prépare
A capter tous les sons
En détendant son front
ce vent était curieux
et il n’est pas furieux
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Geneviève