Re: Ô Larron, cher complice....
Tu as raison, Tony, de réveiller ma plume
Si l'oubli du devoir n'est pas dans ma coutume
Elle peut se trouver fatiguée du rondeau
Mais jamais s'il s'agit d'évoquer ton chapeau
Celui que tu avais perdu dans tes légumes
Elle avait su jouer du marteau sur l'enclume
Ses mots, si fort frappés, avaient si fort volume
Qu'on l'entendait de loin, de Cahors jusqu'Ã Pau
Tu as raison Tony
Allons, pas de regrets ni de larmes posthumes
De ton chaud galurin la braise encore fume
Alors profitons-en, redressons le tréteau
Je remplis l'encrier, toi, ranges ton râteau
De joyeux troubadours remettons le costume
Tu as raison Tony
Bruno
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