Merci Bruno, Felinelove, Sybilla,

Bruno,
Je vais reprendre ces deux vers pour plus de clarté.
J'ai connu en effet, en fin des années 60, les premiers Supermarchés et le rayon des alcools qui n'existait pas en épicerie traditionnelle. Les gens y achetèrent les bouteilles de pastis et autres apéros évidemment moins chers que pris au verre au bistrot. Ainsi se désunirent les groupes de copains, avec la fin des rituels apéros joyeux des dimanches matin au bar du village. Pour quelques sous, les gens prirent là l'habitude de picoler...en confiné.
Amitiés
Jean Marie