Tu m'enivres, bien loin d'etre finit,
Pour d'infini tournis,
Je t'en prie,
Tout les deux je te prie,
Sensations bénis par la chance,
Songe sans échéance,
Si dense et de sens,
Qui rentre dans une transe,
Faire l'amour heureux,
Oh toi ! Bleu ciel aux grands airs,
Laisse nous comme mystère,
Nuageux, des terres aux vents désert,
Passant sur l'haleine fervente,
Du haut azur à la voix hurlante,
Voluptueuse, de chants envolés,
Filant sur la grande blanche ailée,
Pour deux âmes aimantes,
Ah ! Ma femme, ma rayonnante !
L'éternel présage par son sage,
Au ciel, de l'étincelle éparse, sans âge,
Où la lumière, fait prière,
Dans nos êtres, d'étoiles en poussières,
Faisant frissonner le clair- obscur,
Enjolant notre duvet du soir,
Jusqu'au crépuscule de la tendresse,
Pour que l'aurore nous laisse,
Nous nous effacerons à l'aube sans cesse,
Je t'aime Jean-Yves,
De ma main d'ecrivain... aussi vive...

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mes recueils :
1
https://www.edilivre.com/un-temps-au-dessus-du-temps-2a2594e4cf.html

https://www.edilivre.com/un-temps-au-dessus-du-temps-2-2a25a45cff.html
2
edilivre /La rapsodie/