Les chemins perdus...
Au crépuscule de la solitude
Baignant au point du jour
Un temps avance recule comme une habitude
Le vent y disperse les restes de cet amour
Les uns frappent à la porte des oublis
N'étant qu'une empreinte à demi effacée
En mer se perd le cap ici c'est la nuit
La lueur de la vie éteinte se nomme aussi passé
Les années accrochent à la partition du noir et du blanc
Creusant le fossé des souvenirs enfouis dans le tunnel de la mémoire
Une fleur fanée fauche les espoirs et l'instant
Sans toi le devenir est un générique sans histoire...
Tu me manques tu sais je ne peux plus caresser ton visage
Je suis de nouveau saltimbanque laisser au bord du rivage
Ton rire vient exploser ce triste bruit sourd
Je ne peux qu'écrire les cris meutri de mon amour...
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