Et je planais ici sans être là ,
Toujours assise sur ce béton gris
Que vous ignoriez comme on ignora
L'Infortuné sauvage et endormi...
Vous me regardiez, puis pressiez le pas.
un poème très profond on ressent beaucoup de tristesse,
merci poétesse pour ce beau partage.
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lagrib
"D'Amour je ne me "lace",je vais du coup tel "un va nu-pieds"