La petite aiguille était sur le cinq,
la grande sur le douze presque,
J'attendais que la porte s'ouvre enfin,
Il allait ce jouer une scène grotesque.
Tendu comme le chien d'un fusil,
prêt à sauter sur le malheureux,
Quelques seconde avant le grand péril,
il ne souffrirait pas suis généreux.
Voilà le coucou qui sort pour la dernière fois,
j'en ai assez de cette pendule démoniaque ,
Elle finira à la poubelle à ma grande joie,
Quarante deux ans quelle me rend insomniaque.
La retraite sonne plus besoin de compter,
Demain à midi je vais pouvoir me lever,
Fini de travailler ne plus voir le temps passer,
Il ni auras plus d’Horloger dans votre quartier.
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lagrib
"D'Amour je ne me "lace",je vais du coup tel "un va nu-pieds"