quel beau poème, qu'on aurait aimé tant ne pas lire, 400 victimes innocentes, des enfants surtout sous les bombes innommables en deux jours, ah si les mots pouvaient tuer, justice serait vite faite, hélas, hélas, ils sont là et nous ne pouvons que nous indigner et nous émouvoir,
bon dimanche malgré tout et merci pour eux, la vie n'a pas de "prix"
yann