"Et les silences partagés avec les biches ou les anges,
Et puis toi, qui rêvais d’un monde plus tranquille,
Et puis toi, qui me laissait gouter ardemment toute source inutile".
N'est-ce pas la plus belle manière de montrer comment plonger dans l'océan de l'existence et en relever les défis sans en être touché ?
Merci pour ce bel ecrit