Merci pour ta lecture !
C'est une nouvelle très ironique, voltairienne. L'antiphrase y règne en maîtresse.
Cet "amour" dont parle le locuteur est une parodie de l'amour, comme le "bonheur" de ces Vivants trop nombreux asservis par une clique au pouvoir. C'est la cruauté et le totalitarisme qui triomphent dans cet univers dystopique.
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