Merci à vous d'avoir lu et commenté ce texte, parfois de façon dithyrambique.
Merci, Grodele, pour cet appel confraternel à l'oxygène. N'oublions jamais que les classiques furent les premiers à s'autoriser des écarts, pour la beauté du verbe. Vos poèmes si harmonieux prouvent bien que l'art est toujours vivant.