Très touchée, chère Michèle, par cette présence-absence tant aimée et tant cherchée...
Cela me rappelle une poupée tombée et dont la tête a cassé... Elle s'appelait Astrid, comme la Reine des Belges décédée (et j'avais perdu ma mère). J'ai tant pleuré que ma tante a couru toute la ville pour retrouver une tête....
Mais ce n'était plus "elle"....
Au travers des souffrances de cette vie, il y a eu ton désir, je dirais l'appel de ton Ame, à participer à cette Vie, et à toutes ses facettes, souvent plus douloureuses qu'heureuses.... Et pourtant, nous sommes tous et toutes cette parcelle de l'Infini auquel nous aspirons... Et que d'écrire ce très beau poème que je dirais dédié à cette oiselle mal aimée, tu te relies à elle, tu transcendes en quelque sorte cet abandon ...
Je t'embrasse tendrement
Anne
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La poésie c'est une lettre d'amour adressée au monde.
Charlie Chaplin
