L’espoir passe…

Pourquoi se taire, alors qu’on a tant à dire
Risquer déplaire, au point de se faire maudire
Quelle importance, à contre cœur, à corps perdu
Sans arrogance, défendre des causes perdues

Et clouer le bec, aux bavards, aux impertinents
A tous ces blancs-becs, qui polluent tous les continents
Fléchir la tête, avancer aller de l’avant
Finir la fête, sans oublier les survivants

Remettr’ en cause, ces douloureuses blessures
Entr’ autres choses, sans que rien ne préfigure
Ce bel avenir, comme le début d’une histoir’
Où t’appartenir, ne peut souffrir des aux revoir

L’hiver n’est plus loin, pistes noires, grande glisse
Le regard hautain, perces neiges qui fleurissent
Léger crève-cœur, pour ceux que personne n’écoute
Pas un seul vainqueur, qui jamais ne quitte la route

ALTOFE

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Le juste point d'équilibre