Bonjour TheKId,
Comme toi, j'attends l'inspiration et connais des coups de foudre fulgurants- c'est un pléonasme- que je ne soupçonnais pas, avant d'entrer, dans cette société secrète, la poésie. Ne le dis à personne, sauf aux poètes! On te prendrait pour un fou! C'est du moins mon impression. C'est une passion profonde, mais secrète. On semble vivre une vie parallèle! Ta deuxième strophe est quasi mystique:

Je regarde la foule es-tu parmi ses âmes,
Comment te ressentir aux fleurs que j’entrevois,
Dans la rue se diluent tous les parfums de femmes.

J'avoue que je parviens pas à déchiffrer le dernier vers.Je me lance:
C'est la femme, dans toute sa splendeur,toutes les femmes dans toutes leurs splendeurs.Il y a dans tout poème quelque chose de la femme, quelque chose de l'amour, peut-être plus puissant que l'amour.
C'est du domaine de l'indicible, de l'ineffable.
Mais je divague! Restons en à tes vers magnifiques et à la poésie.
Bien amicalement
Dumnac