Eh oui, tu fais bien de nous rappeler cette tradition familale.
Aujourd'hui, on n'a pas le temps de voir arriver les Fêtes! On nous gave, jusqu'à l'écoeurement, avant même que la faim ne vienne...
Le Passé avait du bon: il nous apprenait la patience, la joie de l'attente, cette sorte d'excitation fébrile qui s'empare de nous...
Maintenant, on a fait de nous des blasés: comment encore faire plaisir quand
on supprime l'envie???
Merci de nous avoir conté cette jolie tradition pâtissière!
Capucine