Ô lueurs de clémence, inondez le désert
De l'abîme étouffant où s'engouffre mon être
De tresses de rosée pour ligoter l'enfer
Du roncier du destin où le chagrin vient paître.
Des ondées de fraîcheur de vos sources astrales
Reverdira le val de ce cœur desservi.
La fureur de survie fera lever les voiles
Sur l'île de l'espoir, quand le cap est franchi.
Un poème superbe de bout en bout ! Très heureuse de te relire KHADIJA
des mots très forts !
Bises à toi
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« La poésie - par des voies inégales et feutrées - nous mène vers la pointe du jour au pays de la première fois.  »
de Andrée Chedid