Re: LE POIDS DES HEURES...
Le dernier quatrain est cerise sur gâteau(votre poème):
Le cœur est un soleil qui s’éteint lentement,
A la tombée du jour solitaire il s’enfonce
Dans la vague des nuits recouvertes de ronces
Tant le sommeil le ronge déchiré de tourments.
j'aime,une belle lecture.
Maurice