Re: Libre enfin. (un voeu)
O ma plume adorée, ô souffrance,
Que suis-je à ton coeur que ce facteur,
A tes lettres liées, ta potence,
Brise-moi d'une étreinte d'horreur.
Une vision profonde du coeur.. ombre de ta plume...
Superbe, mon ami! amitiés
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Je crois qu'il n'y ait eu guère d'auteurs qui aient été contents de leur siècle. Vauvenargues.