La vie n’est pas toujours terne,
Le bien et le mal s’alternent,
Dans le monde interne.
Comme le printemps et l’hiver,
Le tronc de l’arbre n’est pas toujours vert,
Tantôt se remplit de fissures, tantôt de verdure est couvert.

Le ciel n’est pas toujours nimbé d’étoiles,
Des fois le bien prend la place d’autres fois le cède au mal,
Dans tous les horizons, chacun a son terme.
Quand le noir descend avec son poids immense,
L’âme aspire à la lumière pour s’infiltrer dans les sens.

Quand la lumière des mirages nous aveugle,
La raison attend la couverture de la nuit pour faire une halte,
Dans le dessein d'évaluer la lumière permanente
Et celle qui noircit comme la couleur l’asphalte.

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