Quand je l’ai serré dans mes bras,
Mon cœur à battu le gras,
La chaleur d’amour à pris mon corps,
Je ne savais pas ce que serait mon sort,
C’était un moment de bravoure,
Surtout quand elle chicaner très fort,
Je me sentais dans un four,
J’étais dans l’amour, dans ses faubourgs
Je suis son enfant prodige, je suis son ange,
Elle accepte tous mes mensonges ;
C’est l’amour commence à ce délire,
Ce sont les retrouvailles, il y’ rien à dire ,
Les retrouvailles, ce sont les sentiments qui parlent et travaillent,
Et en fin de journée, prendre le lit et conclure ?
Ils font ce qu’ils font, jouir du moment de plaisir,
Personne n’a le droit de s’introduire,
Personne n’a le droit de parler à leur place,
Ce sont les nobles, de la haute classe,
Surtout quand les sentiments, sont face à face
Un fadasse qui a trouvé sa tasse.

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les années de disette dictent les poètes