J’ai brûlé ce qui nous unissait, ces feuillets.
Du fardeau que je subissais, le temps efface.
Car même si parfois, je m’en dors endeuillé,
Peut-être qu’à mon réveil, j’en perdrais la trace.
ton poème est triste mais agréable à lire
amitiés
tanemirt
poesiade
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