Si, à l’automne de ma vie!
Je pouvais entrevoir son printemps…
Et retrouver mes quelques soieries!
Me glisser dans ta couche allègrement.

Si, à ce premier printemps!
La vie m’avait soufflé ses fredaines!
Je mettrais l’accent sur mes vingt ans!
Pour toi je serais musicienne!


Si vivre de hasard sans ce paraitre!
Était le fiel du bonheur suprême!
Alors je vivrais des nuits champêtres…
Le raisonnable de ces printemps ,est blême!

Si, je redescendais le marches de mes amours!
Je m’abreuverais jusqu’à la dernière goutte!…
C’est à la dernière marche, le grand contour!
A l’automne de ma vie ,il me reste un doute…

LILAS9

TEXTE PROTEGE 27/09/2010

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la poésie est le parfum de l'ame

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