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Rosamatros (à elles) C´etait en septembre, qui me tient encore, L´oiseau, ailes déployées, battait au vent, Une rose, triste, baissait le grand store Sur sa solitude en faux…Sycomore, Et pourtant si vraie à tant vouloir fleurir Qu´elle laissait parfums de Moshé à Klaus, Ah ! Oui l´Histoire sait, ce n´est pas périr Que de prendre l´aile libre de l´albatros.
La rose, éternelle, me promit bien alors Ce jour où, tout d´espoir, l´oiseau nous reviendrait Puisqu´il était guide et voulant que dès lors, Raison avouée, enfin, lui conviendrait. Amies, vous, Rose, et vous belle Oiselle Ne saurez-vous jamais, quand se remémore L´homme vos longs soupirs d´amitié si belle ?... C´était en septembre, qui me tient encore.
Tadamadon
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