DESIR FROISSE*...
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Enfin nous sommes seuls, enfermés dans nos rêves.
Le monde autour de nous agite ses tourments.
Tu viens dans mon regard et soudain tu m'enlèves,
Je ne vois dans tes yeux que notre envolement.
L’infini crépuscule où l'on ne tient qu'à deux
Nous fait aimer ce temps, nous séparer ne peut
L’aube ne reconnaît ni ton cœur ni le mien,
L’un à l’autre mêlés dans l’amour de nos liens.
Dans cette immensité où le sommeil nous plonge
Je sais, ouvrant les yeux à l'aurore naissante,
Ton cœur se dénouer aux marches de mes songes.
Mais tu laisses de toi dans les plis de mes draps
Le froissé d’un désir quand le rêve s’invente.
Ce soir je revivrai si tu m’ouvres les bras.