Le tout début est de poussière
La fin n’étant qu’état premier
Tout haut me conte du palmier
Le sucre d’un cœur de lumière.
Moi qui ai peur qu’il ne périsse
Je sais, l’amour me survivra
Qui en alcools s’enflammera
Au creux du lit d’un vieux calice.
Et dans la chair que j’anticipe
Qui me pressent Ă©galement
La soif me colle… Heureusement !
Ne voulant que je me dissipe…
Hors du préconçu de l’ouvrage…
Mais ceci, le temps que le temps
En ce que désirent les vents
Consente à réduire l’outrage.
A.Alloun
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Prière ne pas remonter mes anciens textes, merci
Le tagastin: quand on vit d'amour et de vers, il faut assumer ses coliques!