Henya, mes mots pleurent les saisons d’autrefois
Faits de tout ces bonheurs au doux son de ta voix,
Muse en mélodie qui fait battre mon cœur
J’ai la mélancolie à l’appel de ces heures.

Chaque jour qui passe, ton visage me hante
Et ce temps qui lasse n'est qu'image en attente
Perdu dans les rêves : fiction réalité,
Je t’ai vu tendre Ève dans toute ta beauté.

Je veux m’imaginer à te voir au réveil
Dansant au corps à corps juste pour un instant,
En oubliant les torts, vivant le temps présent,
Pouvoir te deviner à travers le sommeil.

J'aurais dû te dire l'ensemble de ces phrases
Afin de libérer mon âme de l’amour,
Pour trouver l'issue, me plonger dans l'extase ;
Oser la vérité pour te faire la cour !

En mes maladresses, tout seul me suis blessé,
Écoute, déesse, je viens me confesser
Avant toi, je ne savais pas le mot AIMER
Après toi il n’y a plus personne à AIMER…

Regards et sourires sont inscrits à jamais
Aujourd’hui plus qu’hier au fond de ma mémoire,
Le phare de mes nuits dans ce triste marais,
Lumière de la vie éclairant mon histoire.