en chemin avec ma compagne
Prenons donc des chemins qui ne mènent nulle part
Ou nous ne croiserons personne car personne n’y vient
Ne parlerons pas, puisque aucun nous entendent
C’est déjà si pesant de t’avoir pour compagne
Même si nous n’arriverons jamais autre part
Croisons en cadence nos pas en silence
Ma conscience est bruyante et toi effrayante
Mais je me sens moins seul
Quand dans ma main, je sens la tienne, Solitude
Phildor
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De l'ombre à la lumière sur le chemin de la poésie