Une huître perlière à la fleur de l’âge,
Très jolie à la beauté sauvage,
Etait invitée à un festin cocasse,
Dans un grand plat joliment présenté,
Pour le plaisir du palais des invités
Etant appréciée tel un précieux mets.

Mais personne n’avait fait attention,
Que la valeur première,
De sa principale qualification,
C’est d’être une huître perlière,
Mélange à celles d’élevages d’Arcachon.

0serez vous m’ouvrir et me déguster ?
Se plaignait l’huître perlière humiliée,
Fine Princesse par ma manière.
Vous chers convives atteint de voracité,
Moi que je sais gentiment vous donner,
Les richesses de belles pierres.

Laissez-moi encore en vie !
Et plus tard vous comprendrez,
Que les parures que vous portez,
C’est moi qui vous les ais crées
A l’aide des eaux, de chaudes mers.

Les convives l'entendront se plaindre
De sont plat elle fut enlevée,
La mer chaude elle a pu rejoindre
Avec d’autres elle avait été mélangée,
Malgré sa finesse et ses qualités,
A vrai dire pour ne pas se tromper !
Elle ne méritait pas d’être associée,
Aux huîtres d’élevage d’un bassin de la région.
Des ostréiculteurs de la ville d’Arcachon.


Paquita