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Ce coin de Louvre (A Galia*** Mon complément d´objet direct) En l´apothéose, l´ange ceint Homère, La lyre et le laurier s´offrent à tout cet art Qu´espéra Raphael et qui n´est chimère Au regard s´éveillant, le mien, souvent très tard.
Voyez, Odyssée, Iliade, à ses pieds, Le maître et Apelle, ô ! Dante à Virgile , Ce précis de beauté auquel, oui je sieds En concis d´un instant où l´art est fragile
Au bain turc, pourtant, dames découvertes En foule exhibée sont jouissance brêve Car toute la foison est de mille pertes, La grande Odalisque étant à mon rêve.
Ah ! Belle influence, quand mon âme s´ouvre, Par l´exquise envie de deux yeux malingres Se voulant immenses comme l´est le Louvre, De mon romantisme tu es violon d´Ingres.
Tadamadon
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