Je vis et je respire, mais ton parfum ne sent
Et il n'y as rien de pire, pour me causer tourment
Tu fut mon oxygène, tu coulais dans mes veines
Mais si forte est ma peine, que tout mon cœur en saigne

On te nomme la vie, mais de toi n'est soucis
En rit et en fait fi, en buvant mon whisky
Et quant je serai saoul, je pourrais m'endormir
Car je n'ai plus le goût, je voudrais tant partir

Mais je n'ai pas le courage, de faire ce long voyage
Il ferais trop de ravage, si je quittais rivage
Je briserais le cœur, celui de mes enfants
Je leurs causerais malheur, et bien sûr des tourments

Alors je reste là , et toujours aussi las
Je ne franchirais ce pas,, en sautant sous la rame
Et j'occupe mes nuits, de toutes ces insomnies
A écrire poésies, qui sont que mes édits

Alors j'écris tout ces mots, qui me font maux
Vous les trouvez si beau ,c'est mon cadeau
Pour vous mes amis(es), qui êtes ici
Qui pouvez lire, combien fort je cris

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